Текст песне : Fabe. Aujourd'hui.
T'as vu comment ca s'passe aujourd'hui, j'prends mes ques-mar.
J'veux pas m'faire shooter par un trimard sur le trottoir,
Tard le soir ou l'apres-midi, dans une station
De metro que ce soit les Halles ou Garibaldi...
C'est plus Vivaldi de nos jours qui fait reference,
C'est l'arme du crime, la combine et la delinquance.
Comment changer ca, j'reve de plus ne voir un frere tomber pour tout ca!
Il faut combien de morts pour qu'on la creve ta mode de "scar-la" et de "boch-ka" ?
Jusqu'a ce moment-la, moi je n'y touche pas.
T'es pas une pute: tu ne te couches pas, t'es pas morveux :
Tu ne te mouches pas, tu ne bouges pas
Dans les sens que la France veut que tu pousses ta face.
Meme quand t'es en transe a bout faut pas qu'on te la fasse.
Reponse a tout enfin surtout a tout ce qui t'agace.
Classe, Regarde en face, quand tu depasses l'as des as.
Parti a 10 contre 1, t'en rencontres un comme toi,
Genre moi, jure-moi qu'un gars du coin c'est pas sacre.
C'est pas pour ca qu'il faut les massacrer !
La famille, c'est sacre, tu la touches et ca cree des ennuis...
Des meres-filles deviennent veuves quand s'abat la nuit,
Quand lame a la main, au nom de l'ami la mort en veut a la vie.
Du mal a y voir meme pas l'temps de dire "au revoir" A en croire l'histoire,
c'est toujours les memes qui font la poire, ca foire!
L'espoir est loin, en fait si j'ecris,
C'est pour eviter de descendre dans la rue en poussant des cris.
Ma vie j'decris, j'y crois, chacun sa croix, son fardeau,
Son quota de "pas de pot !",
De genoux ecorches ou bien de sauts sous le metro.
Suivant la tete du client, la vie c'est pas un plan depliant, depliable,
T'enleves "dep", tu mets "d", il reste le diable...
Piege camoufle, ou foncent en courant tous ces mouflets,
Si les enfants sont innocents alors qui leur a
Souffle toutes ces saloperies, ces sales manies ?
Depuis la tape a Monoprix, passes par la caisse de l'epicerie, finit en son-pri...
Combien en ont pris ? Combien ont compris ?
Combien ont grandi ? Combien sont morts ?
Combien ont tort? Combien ont choisi ?
Combien ont vecu ici ? Combien ne connaissent pas le souci ?
Combien s'en sortent ? Combien sont escortes ?
Combien sont emportes ? Combien ca coute une ecole privee ?
Combien tu paies toi ? Combien j'les aime mon pere et ma mere moi !
Combien de fous les poches vides leurs jours d'anniversaire ?
J'ai plus de voix...
J'veux pas m'faire shooter par un trimard sur le trottoir,
Tard le soir ou l'apres-midi, dans une station
De metro que ce soit les Halles ou Garibaldi...
C'est plus Vivaldi de nos jours qui fait reference,
C'est l'arme du crime, la combine et la delinquance.
Comment changer ca, j'reve de plus ne voir un frere tomber pour tout ca!
Il faut combien de morts pour qu'on la creve ta mode de "scar-la" et de "boch-ka" ?
Jusqu'a ce moment-la, moi je n'y touche pas.
T'es pas une pute: tu ne te couches pas, t'es pas morveux :
Tu ne te mouches pas, tu ne bouges pas
Dans les sens que la France veut que tu pousses ta face.
Meme quand t'es en transe a bout faut pas qu'on te la fasse.
Reponse a tout enfin surtout a tout ce qui t'agace.
Classe, Regarde en face, quand tu depasses l'as des as.
Parti a 10 contre 1, t'en rencontres un comme toi,
Genre moi, jure-moi qu'un gars du coin c'est pas sacre.
C'est pas pour ca qu'il faut les massacrer !
La famille, c'est sacre, tu la touches et ca cree des ennuis...
Des meres-filles deviennent veuves quand s'abat la nuit,
Quand lame a la main, au nom de l'ami la mort en veut a la vie.
Du mal a y voir meme pas l'temps de dire "au revoir" A en croire l'histoire,
c'est toujours les memes qui font la poire, ca foire!
L'espoir est loin, en fait si j'ecris,
C'est pour eviter de descendre dans la rue en poussant des cris.
Ma vie j'decris, j'y crois, chacun sa croix, son fardeau,
Son quota de "pas de pot !",
De genoux ecorches ou bien de sauts sous le metro.
Suivant la tete du client, la vie c'est pas un plan depliant, depliable,
T'enleves "dep", tu mets "d", il reste le diable...
Piege camoufle, ou foncent en courant tous ces mouflets,
Si les enfants sont innocents alors qui leur a
Souffle toutes ces saloperies, ces sales manies ?
Depuis la tape a Monoprix, passes par la caisse de l'epicerie, finit en son-pri...
Combien en ont pris ? Combien ont compris ?
Combien ont grandi ? Combien sont morts ?
Combien ont tort? Combien ont choisi ?
Combien ont vecu ici ? Combien ne connaissent pas le souci ?
Combien s'en sortent ? Combien sont escortes ?
Combien sont emportes ? Combien ca coute une ecole privee ?
Combien tu paies toi ? Combien j'les aime mon pere et ma mere moi !
Combien de fous les poches vides leurs jours d'anniversaire ?
J'ai plus de voix...
Fabe