Текст песне : Jean-Pierre Ferland. Ben Bon.
Ben bon, j'ai perdu mes souliers, ben bon
Ben bon, j'courrai plus les jupons
Ben bon, si l'bon Dieu s'en est apercu
Ben bon, y aura l'temps d'oublier trop que j'ai vecu
{Refrain:}
On se console avec un rien
Le truc c'est de savoir accepter
Les gens betes et les citrouilles
Qui vous pendent au bout du nez
Ben bon, l'amour est ephemere
Ben bon, pour le prochain soupir
Ben bon, pour les quinquagenaires
Ben bon, autant d'amour, autant de souvenirs
{au Refrain}
Ben bon, j'ai pris la courtepaille
Ben bon, je ne jouerai jamais plus
Ben bon, si aujourd'hui j'en braille
Ben bon, demain l'amour ne me rendra pas cocu
{au Refrain}
Ben bon, pour celui qu'on enterre
Ben bon, sans doute un autre elu
Ben bon, s'il etait milliardaire
Ben bon, son souvenir restera d'autant plus
{au Refrain}
Ben bon, j'ai mange deux taloches
Ben bon, je les avais meritees
Ben bon, qu'il ait eu ces galoches
Ben bon, j'aurais pas pu vous causer deguinde
On se console avec un rien
Surtout quand on a survecu
Aux gens betes et aux galoches
Qui vous pendent au bout du (cul)
Ben bon, j'courrai plus les jupons
Ben bon, si l'bon Dieu s'en est apercu
Ben bon, y aura l'temps d'oublier trop que j'ai vecu
{Refrain:}
On se console avec un rien
Le truc c'est de savoir accepter
Les gens betes et les citrouilles
Qui vous pendent au bout du nez
Ben bon, l'amour est ephemere
Ben bon, pour le prochain soupir
Ben bon, pour les quinquagenaires
Ben bon, autant d'amour, autant de souvenirs
{au Refrain}
Ben bon, j'ai pris la courtepaille
Ben bon, je ne jouerai jamais plus
Ben bon, si aujourd'hui j'en braille
Ben bon, demain l'amour ne me rendra pas cocu
{au Refrain}
Ben bon, pour celui qu'on enterre
Ben bon, sans doute un autre elu
Ben bon, s'il etait milliardaire
Ben bon, son souvenir restera d'autant plus
{au Refrain}
Ben bon, j'ai mange deux taloches
Ben bon, je les avais meritees
Ben bon, qu'il ait eu ces galoches
Ben bon, j'aurais pas pu vous causer deguinde
On se console avec un rien
Surtout quand on a survecu
Aux gens betes et aux galoches
Qui vous pendent au bout du (cul)
Jean-Pierre Ferland