Текст песне : Merzhin. Dernier Soupir.
Il n'aurait pas fallu beaucoup de temps
Et j'aurais vecu plus avant
Un peu de chance, de cadence et de demence
Vous auriez pu me faire defense
Seulement vous m'avez oublie
J'ai perdu ma vie, mes sens, j'ai sombre
Trop tard, j'ai vu l'acier decoller
Bien a vous ma tete s'est envolee
Longtemps, comme un diable, j'ai combattu
Mais je n'ai pu abuser de cette vertu
L'ennemi, de mon chef, s'est empare.
Surement pour en faire un... joli trophee
Comme une riviere mon sang a inonde
Leurs mains salies sans aucun regret
Une dame en noir m'a fait fremir
En me soutirant mon... dernier soupir.
Oh dernier soupir
Ma carcasse au soleil s'est mise a pourrir
Attendant les vautours pour la rafraichir
J'ai scrute mon corps inerte et vide
Avant de m'elancer, pur et avide
J'ai plane sur une route pure et cristalline
Pensant au chagrin de Mitrilin
Cette fleur a peine eclose, deja tourmentee
Par le cruel plaisir du joug guerrier
Pour moi un monde satin s'est entrouvert
J'ai oublie tres vite le gout amer
D'une defaite a qui j'ai fait creance
De tous les droits de mon existence
Cette vie-la etait bete a mourir
Aujourd'hui je n'suis plus "en devenir"
Devation m'a pris comme son enfant
Ce qui vous fallait c'etait perdre mon temps
Oh perdre mon temps
Un peu de chance,
de cadence
et de demence
et de demence
Un peu de chance
et de cadence
et de demence, oh...
de demence
Un peu de chance
et de cadence
et de demence, oh...
de demence
Un peu de chance
et de cadence
et de demence, oh...
de demence
Et j'aurais vecu plus avant
Un peu de chance, de cadence et de demence
Vous auriez pu me faire defense
Seulement vous m'avez oublie
J'ai perdu ma vie, mes sens, j'ai sombre
Trop tard, j'ai vu l'acier decoller
Bien a vous ma tete s'est envolee
Longtemps, comme un diable, j'ai combattu
Mais je n'ai pu abuser de cette vertu
L'ennemi, de mon chef, s'est empare.
Surement pour en faire un... joli trophee
Comme une riviere mon sang a inonde
Leurs mains salies sans aucun regret
Une dame en noir m'a fait fremir
En me soutirant mon... dernier soupir.
Oh dernier soupir
Ma carcasse au soleil s'est mise a pourrir
Attendant les vautours pour la rafraichir
J'ai scrute mon corps inerte et vide
Avant de m'elancer, pur et avide
J'ai plane sur une route pure et cristalline
Pensant au chagrin de Mitrilin
Cette fleur a peine eclose, deja tourmentee
Par le cruel plaisir du joug guerrier
Pour moi un monde satin s'est entrouvert
J'ai oublie tres vite le gout amer
D'une defaite a qui j'ai fait creance
De tous les droits de mon existence
Cette vie-la etait bete a mourir
Aujourd'hui je n'suis plus "en devenir"
Devation m'a pris comme son enfant
Ce qui vous fallait c'etait perdre mon temps
Oh perdre mon temps
Un peu de chance,
de cadence
et de demence
et de demence
Un peu de chance
et de cadence
et de demence, oh...
de demence
Un peu de chance
et de cadence
et de demence, oh...
de demence
Un peu de chance
et de cadence
et de demence, oh...
de demence