Текст песне : Jean Yanne. La Gloriole.
Au pays de la gloriole
Quand le panache etait roi
Ne faisait pas le mariole
Le long du chemin de croix
Qui menait a l'echafaud
Le monde des aristos
Car le soleil se levait
Beaucoup trop rouge au 14 juillet
La particule trahissait
Les ci-devant que l'on emprisonnait
La particule trahissait
Les ci-devant que l'on emprisonnait
Au pays de la revolte
Le peuple etait ulcere
Des detours et virevoltes
D'un monarque perime
Il plantait le long des grilles
Le cou des fils des famille
La guillotine dressait
Son profil rouge au 14 juillet
Et la charrette transportait
Les ci-devant que l'on decapitait
Et la charrette transportait
Les ci-devant que l'on decapitait
Au pays de la victoire
Dans le triomphe eclatant
Des chansons de verse-a-boire
Le vin remplacait le sang
La Republique se sacre
Par un beau jeu de massacre
Un jour nouveau commencait
Le blanc et rouge au 14 juillet
Et la cocarde fleurissaient
La liberte que l'on applaudissait
Et la cocarde fleurissaient
La liberte que l'on applaudissait
Dansons la carmagnole
Car au son du clairon
A se casser la gueule
Est morte... une nation!
(Merci a fafa pour cettes paroles)
Quand le panache etait roi
Ne faisait pas le mariole
Le long du chemin de croix
Qui menait a l'echafaud
Le monde des aristos
Car le soleil se levait
Beaucoup trop rouge au 14 juillet
La particule trahissait
Les ci-devant que l'on emprisonnait
La particule trahissait
Les ci-devant que l'on emprisonnait
Au pays de la revolte
Le peuple etait ulcere
Des detours et virevoltes
D'un monarque perime
Il plantait le long des grilles
Le cou des fils des famille
La guillotine dressait
Son profil rouge au 14 juillet
Et la charrette transportait
Les ci-devant que l'on decapitait
Et la charrette transportait
Les ci-devant que l'on decapitait
Au pays de la victoire
Dans le triomphe eclatant
Des chansons de verse-a-boire
Le vin remplacait le sang
La Republique se sacre
Par un beau jeu de massacre
Un jour nouveau commencait
Le blanc et rouge au 14 juillet
Et la cocarde fleurissaient
La liberte que l'on applaudissait
Et la cocarde fleurissaient
La liberte que l'on applaudissait
Dansons la carmagnole
Car au son du clairon
A se casser la gueule
Est morte... une nation!
(Merci a fafa pour cettes paroles)
Yanne, Jean