Текст песне : Jean Yanne. La Légende Orientale.
Des poissons d'or et des mailles jouaient dans le camail d'une fontaine perses
sur des tapis des velours bien faite pour l'amour en des danses perverses
filles venues des portes d'orient des montagnes d'Afghanistan
des bayaderes tentaient d'attiser les desirs d'un prince blase
le prince dit je m'ennuie grand vizir conte moi, quoi?
la chevauche sans merci des guerres d'autrefois, ah bon.
le grand vizir se leva et la main sur le coeur
pour plaire a son bon seigneur voici ce qu'il raconta
barde de fer et de feu la haine dans les yeux pour terasser le monde
passant tout comme a l'enfer les hommes par le fer et violant les jocondes
guerrier venu des portes d'orient des montagnes d'Afghanistan
des cavaliers se jouant de la peur semaient la mort et la terreur
le prince dit ca m'ennui grand fakir donne moi, quoi donc?
le charme dans lequel bientot l'ennui bientot me plongera, ah bon bah fallait l'dire.
le grand fakir se leva et la mains sur le coeur
pour plaire a son bon seigneur voici ce qu'il ordonna
dans cette coupe ou tu vois les herbes qui debois contiennent les puissances
tu trouvera si tu veux oh seigneur genereux l'oubli de l'existence
Filtre venu des portes d'orient, des montagnes du meme endroit
cette liqueur versera dans ton coeur le tres doux secret du bonheur
le prince dit essayons puis il bu sans tarder, quoi?
la coupe et sous le poison il tomba foudroye, sur la carpette.
le grand vizir le fakir tout rouge de plaisir montraient une joie folle
car le prince empoisone ils allaient heriter ses puits de petrole.
(Grazie a Piou per questo testo)
sur des tapis des velours bien faite pour l'amour en des danses perverses
filles venues des portes d'orient des montagnes d'Afghanistan
des bayaderes tentaient d'attiser les desirs d'un prince blase
le prince dit je m'ennuie grand vizir conte moi, quoi?
la chevauche sans merci des guerres d'autrefois, ah bon.
le grand vizir se leva et la main sur le coeur
pour plaire a son bon seigneur voici ce qu'il raconta
barde de fer et de feu la haine dans les yeux pour terasser le monde
passant tout comme a l'enfer les hommes par le fer et violant les jocondes
guerrier venu des portes d'orient des montagnes d'Afghanistan
des cavaliers se jouant de la peur semaient la mort et la terreur
le prince dit ca m'ennui grand fakir donne moi, quoi donc?
le charme dans lequel bientot l'ennui bientot me plongera, ah bon bah fallait l'dire.
le grand fakir se leva et la mains sur le coeur
pour plaire a son bon seigneur voici ce qu'il ordonna
dans cette coupe ou tu vois les herbes qui debois contiennent les puissances
tu trouvera si tu veux oh seigneur genereux l'oubli de l'existence
Filtre venu des portes d'orient, des montagnes du meme endroit
cette liqueur versera dans ton coeur le tres doux secret du bonheur
le prince dit essayons puis il bu sans tarder, quoi?
la coupe et sous le poison il tomba foudroye, sur la carpette.
le grand vizir le fakir tout rouge de plaisir montraient une joie folle
car le prince empoisone ils allaient heriter ses puits de petrole.
(Grazie a Piou per questo testo)
Yanne, Jean