Moi, si j'etais un homme, je serais capitaine D'un bateau vert et blanc, D'une elegance rare et plus fort que l'ebene Pour les trop mauvais temps. Je
Les nuits bizarres Les belles bagarres L'impression d' vivre avec une balancoire Les bons baisers qui font les bleus bien noirs J' voudrais encore etre
{Refrain:} Ne me regarde pas Je reconnais cet air-la Encore un eclat de larmes dans tes yeux Je n'en sais pas la raison Je n'ai pas de solution Tu m'imposes
Je l'aimerai a travers toi Je t'aimerai a travers lui Et pour lui tu me donneras Le meilleur de ta vie Je l'aimerai a travers toi Je t'aimerai a travers
monotone J' suis en panne comme une pomme On m' disait que t'avais tout Dans ta rondeur, y a des trous Manhattan monotone Je suis Diane, pas Lennon Il
Nous parlions toutes les deux Les soirs de ces nuits d'or En marchant de longues heures Sans aller nulle part On s'inventait des jeux On s'imaginait
Au rayon des amours a vendre On m'a mise a dix-sept ans Je n'ai pas cesse d'apprendre Le male etait dieu Et je jouais le jeu Mais j'en ai garde gros sur
jambes tant elle pese C'est pourtant des sommets Qu'on y voit le plus clair Comme animee d'un second souffle venu D'une telle eblouissante etendue
Degriffe-moi, degriffe-nous Si c'est donc vrai La marque au cou Sur mon col, tu lis Ne pas repasser (ne pas repasser) Degriffe-nous, degriffe-moi Je
Deshabillez-moi, deshabillez-moi Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite Sachez me convoiter, me desirer, me captiver Deshabillez-moi, deshabillez
On n's'est pas rendu compte On s'donnait rendez-vous Tu me disais raconte Et moi j'devoilais tout Ma vie ma vie mes aventures Ma nostalgie mon clair
En passant a toute allure devant "Paix en Algerie" ecrit sur le mur Je me dis que ces lettres noires Un peu vieillies sur le mur, sur le mur a l'ecart
Si mon regard est triste et ma voix tremble Ma peau prend une couleur maladive Ne vous demandez pas ce qui m'arrive Je suis en amour L'amour s'empare
Tout est flou De cet avion qui s'en va je ne sais ou Et mes yeux s'ouvrent apres ce long voyage Quand j'apercois ton doux visage Dans les nuages Tout
les jambes tant elle pese C'est pourtant des sommets Qu'on y voit le plus clair Comme animee d'un second souffle venu D'une telle eblouissante etendue
Savoir qu'il existe quelque part Debout, entre des milliards, Un homme, un seul, qui me ressemble Savoir que l'on se fixe un choix ensemble Que je fasse