Devant mon televiseur a vingt heures J'observe le monde qui creve Guerre, famine, catastrophe, meurtre. y a plus de reves, plus rien ? J'reste neutre
Le fond de l'air est frais, Laiho, Laiho ! Il n'y a plus d'saison, Laiho, Laiho ! Moi, sous mes pantalons, Je porte des cal'cons longs. C'est ceux de
Certains l'aiment tot Certains l'aiment tard Certains l'aiment chaud D'autres tartare Le plaisir n'a pas de mesure Tous les gouts sont dans ma nature
Je suis l'dauphin d'la place Dauphine Et la place Blanche a mauvaise mine Les camions sont pleins de lait Les balayeurs sont pleins d'balais Il est cinq
On nous cache tout, on nous dit rien Plus on apprend plus on ne sait rien On nous informe vraiment sur rien Adam avait-il un nombril ? On nous cache
Le monde entier est un cactus Il est impossible de s'assoir Dans la vie, il y a qu'des cactus Moi je me pique de le savoir Aie aie aie, ouille, aie aie
Sept cent millions de chinois Et moi, et moi, et moi Avec ma vie, mon petit chez moi Mon mal de tete, mon psi J'y pense et puis j'oublie C'est la vie,