/ N. Krief / M. Chemlek) Putain de vie, putain de terre Maudit soit le jour ou j'ai vu l'enfer C'etait le sauvage, c'etait mon frere Les gens le toisaient
pour le faire taire Je voudrais le serrer tres fort Le jour ou son ame quittera son corps A cinquante ans il ne prit pas le temps de dire Merde a tout le
le sauvage c'etait mon frere Les gens le toisaient d'un drole d'air Trente ans de labeur avaient fait monter sa rancoeur Trente ans de chaines, chacun sa veine Voyez le sauvage